[La Femme en vert | Arnaldur Indridason, Eric Boury (Traducteur)]
La ville s’étend et l’on découvre un os humain dans la banlieue, un squelette vieux d’une soixantaine d’années, la fille du commissaire l’appel à l’aide, plongée dans l’univers des junkies, il la retrouve droguée, enceinte de sept mois gisant dans son sang. Une équipe de « Larkéo » se charge de déterrer les restes et l’on n’apprend qu’à la fin du livre le sexe de la victime. Parallèlement, on nous raconte l’histoire d’un tortionnaire qui bat sa femme sous les yeux de ses enfants, l’histoire de la violence familiale. Il parle près de sa fille toujours dans le coma, comme tout un chacun, il porte son fardeau, une ombre qui a dirigé sa vie, il a abandonné femme et enfants vingt ans auparavant. Loin des détectives grands consommateurs d’alcools tombeurs de nanas et distributeurs de coups de poing … un grand roman … vite un autre Indriason
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