[Un monde vacillant | Cynthia Ozick, Jacqueline Huet (Traducteur), Jean-Pierre Carasso (Traducteur)]
Sous forme de chroniques, Ozick raconte la vie de réfugiés juifs sur le continent américain.
À la manière d'Imre Kertèsz, sa forme d'écriture donne aux parenthèses, le soucis du perpétuel retour en arrière, pour tenter de ne rien oublier dans les souvenirs parfois confus qui comblent sa mémoire, de peur qu'ils ne s'éteignent à jamais. Elle témoigne de son temps, elle transmet sa vie étonnante.
Cette façon d'écrire rend ennuyeux le récit constitué d'une suite de faits rébarbatifs qui ont tendance à m'éloigner de ce monde poussièreux.
Par exemple, la perte d'une enveloppe bleue contenant l'argent gagné par le personnage principal, donne lieu à un chapître sans intérêt.
Des longueurs, de la monotonie dans le ton définissent sûrement cette vie éprouvante en pays étranger.
Un témoignage de plus, permettant de ne pas oublier la folie des hommes.(bertrand-môgendre)
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