En tournant la dernière page du tome 5, je n’ai qu’une envie, mettre mes chaussures de montagne, trouver un piolet, des crampons et une corde, et partir à l’assaut du pic qui surplombe ma maison. Il est encore enneigé, n’atteint pas tout à fait les 2000 mètres et n’est pas l’Himalaya, mais peu importe… Habu Joji sera là pour m’aider à franchir les étapes de la montée. Avec le sommet des dieux, on est en immersion totale dans le monde de l’alpinisme, et Taniguchi, comme il l’avait fait précédemment avec Quartier Lointain, nous livre toute l’immensité de son talent.

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