J'aime décidément beaucoup le style ironique et définitif de Castillon.
Pour ce qui est de l'histoire, j'ai trouvé que l'on tournait un peu en rond. La triste vie de cette pauvre femme seule m'a énormément fait penser à un personnage d'un livre lâché par Oireb lors d'un meet-up "Les panneaux" de Jean-Claude Fontanet. Ce qui fait que j'ai trainé durant toute la lecture ce sentiment de déjà-lu.
J'ai détesté la fin qui en fait n'en est pas une. Comme si le livre s'arrêtait en plein milieu de nul part.
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