4ème de couverture :
«En ce temps-là, on mettait des photographies géantes de produits sur les murs, les arrêts d'autobus, les maisons, le sol, les taxis, les camions, la façade des immeubles en cours de ravalement, les meubles, les ascenseurs, les distributeurs de billets, dans toutes les rues et même à la campagne. La vie était envahie par des soutiens-gorge, des surgelés, des shampoings antipelliculaires et des rasoirs triple-lame. L'oeil humain n'avait jamais été autant sollicité de toute son histoire : on avait calculé qu'entre sa naissance et l'âge de 18 ans, toute personne était exposée en moyenne à 350 000 publicités. Même à l'orée des forêts, au bout des petits villages, en bas des vallées isolées et au sommet des montagnes blanches, sur les cabines de téléphérique, on devait affronter des logos "Castorama", "Bricodécor", "Champion Midas" et "La Halle aux Vêtements". Il avait fallu deux mille ans pour en arriver là.»
Mon avis :
Beigbeder c'est étrange. Quand j'en lis un, je trouve que c'est plein de phrases chocs. Souvent d'ailleurs, je repose le livre pour les répéter plusieurs fois. Et puis une fois le livre terminé, c'est à peine si je me souviens du contenu. Vraiment bizarre.
M'enfin c'est égal : j'adoooore Beigbeder !
Libéré : le 17 février 07 à la Ferme-Asile, à Sion.
----
[Recherchez la page de l'auteur de ce livre sur
Wikipedia]
Afficher toutes les notes de lectures pour ce livre