Huit auteurs et autrices. Huit nouvelles. Chacune sur un « bandit social » (...) ces hommes et femmes issus de la petite paysannerie qui occupent la zone grise entre criminalité et révolte sociale.
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Mon petit coup de cœur personnel va à Cangaceiros: Fragments d’une légende de Jean-Luc Sahagian sur Maria Bonita et les siens à la narration originale et pour Vie et mort (mort et vie) d’un bandit mexicain de Sébastien Rutès sur Joaquín Murietta (le seul des bandits traités dans le recueil dont l’existence même porte à débat, ce qui donne d’autant plus d’intérêt à la structure très particulière de la nouvelle). J’ai également apprécié que Sarah Haidar me fasse découvrir Hend U Merri via L’insoumis kabyle, le seul des huit brigands dont je n’avais jamais ne serait-ce qu’entendu parler et pas le moins intéressant.
Retrouvez la chronique complète de Bandits & Brigands sur le blog R2N2.

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