Un excellent roman. Max a déjà fait une magnifique analyse détaillée de ce livre, alors j'en profite pour ne donner que mes impressions.
Comme kalistina, j'ai mis du temps à savourer les qualités de ce roman, déjà connu comme un chef d'oeuvre. Il faut dire que Jenny Fields est un personnage râpeux, dont le "tordisme" reste mystérieux et peu sympathique à mes yeux, et qu'Irving commence par elle. Je me suis laissée séduire quand les projecteurs se sont tournés vers Garp lui-même et plus encore quand Irving, après avoir fini de réactualiser ses ingrédients habituels (Autriche glauque, misère sexuelle des solitaires, manie urologique...), a donné ses clefs de lecture sur le titre.
J'ai particulièrement aimé les extraits d'oeuvres censément écrites par Garp, qui soutiennent l'attention au lieu de la disperser.
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