Les années 20, San-Pedro, une île des Caraïbes. où les indigènes plutôt misérables coupent la canne à la machette.
Luisa, la fille du fils des maîtres et d’une domestique, vit ici dans ce village de Malagita entre sa mère, mama la servante, Nana une grand-mère un peu sorcière, Orlando un père quelque peu marginal et La grand mère maternelle, La Senora Beatriz de la Cueva, aristocrate espagnole qu’elle ne la verra qu’une fois.
Lorsque des prémices de révolution commencent à embraser cette île féodale, Son père les entraîne aux États Unis (ils sont citoyens américains) où ils vivront dans dessous sols crasseux de sordides immeubles de Brodway.
Luisa travaillera toute sa vie comme servante chez les riches et elle élèvera seule son fils. Mais toute sa vie, malgré son statut de domestique, d’éternelle déclassée, elle restera une insoumise à la fois sage et digne.
Un magnifique portait de femme

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