François et Marthe vivent paisiblement dans leur maison de Plassans, avec leur fille et leirs deux fils, Serge et Octave, jusqu'au jour où ils décident de louer une de leur chambre à Faujas, un prêtre bonapartiste et à sa mère.
Ceux-ci se montrent au début discrets, voire effacés, lui allant par les rus en rasant les murs dans sa soutane élimée.
Mais il a l'ambition de conquérir la ville et c'est la mère de Marthe qui sera son alliée dans l'ombre et lui en fournira le moyen : offrir aux dames de se consacrer à une bonne oeuvre.
Plus Faujas prendra de l'ampleur, plus le couple Rougon se délitera, François se refermant sur lui-même et Marthe devenant de plus en plus dévote.
La catastrophe finale deviendra peu à peu inéluctable.

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Je l'ai lu il y a trop longtemps : il se confond dans mon souvenir avec "La Fortune des Rougon", "La Curée" ou "L'Argent". Pourtant, il se passe "encore" à Plassans. A relire un jour.