[Tex. 690, Le schiave del Messico | Gianluigi Bonelli ; Aurelio Galleppini]
Les esclaves du Mexique.
Reynaldo Saldivar, manipulateur et cruel, s’engraisse odieusement avec le trafic de femmes mexicaines jusqu’à ce qu’un de ses convois se fasse attaquer par une bande dissidente menée par Julio Tejas. Anita réussit à s’enfuir et vient demander l’aide de Tex Willer et Kit Carson. Les rangers vont pister les despérados jusqu’à la ville fantôme de Villacruz mais ils ignorent encore qu’ils sont manœuvrés.
Le scénariste Pasquale Ruju a imaginé une histoire de dupes, entraînant habilement les célèbres rangers dans le cercle de feu qu’orchestre un marionnettiste habile et invisible jusqu’au règlement de compte final. Tenant en un seul numéro, l’aventure captive. L’action est tendue. Les colts chauffent. Les femmes rivalisent de beauté et de sensualité quand les hommes concupiscents grimacent et transpirent. Le dessinateur Giuseppe Prisco réalise aussi une belle partition dans ce concerto de mitraille. Le one-shot fait plus d’une victime mais réjouit le lecteur quand les sinistres méchants encaissent le retour du bâton.
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