Sylvain Tesson et quatre acolytes s'embarquent sur des side-cars Oural, sur les traces de la Grande Armée napoléonnienne lors de la campagne de Russie de 1812.

200 ans plus tard, bicorne vissé sur la tête, il tente de nous faire revivre l'Histoire.

"Jamais champ de bataille n'a présenté tant d'horreur".

Ce qui est pourtant une victoire, raisonne comme une débâcle dans la mémoire collective: la Berezina (nom d'une rivière russe).

J'ai aimé retrouvé "la verve tessonnienne" si chère à mon cœur mais plus rare dans cet opus:



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