[Tex. 646, Il guerriero immortale | Gianluigi Bonelli ; Aurelio Galleppini]
Toujours sur la piste du guerrier Comanche apparemment invincible, Tex Willer et son ami Kit Carson arpentent les prairies texanes et surprennent deux charriots attaqués par des Comanches. Leur intervention providentielle déjoue l’attaque mortelle. Les deux rangers accompagnent les survivants à Scotsville et préviennent la population d’une probable attaque indienne menée par Wasape qui ne cesse de fédérer de nouvelles tribus gagnées à sa cause. En sous-main, les sinistres Crane et Zimmer orchestrent la légende du mythique Comanche, attisent la haine des Indiens envers les colons, sous la houlette discrète de Johnson, un avide homme d’affaires désirant récupérer les terres indiennes une fois que la répression aura éliminée les rebelles Comanches. Wasape est un pion mais il joue sa partition et son immortalité apparaît évidente lorsqu’il se lance seul dans Scotsville, sous les yeux ébahis des ses guerriers, traversant indemne les tirs croisés des citadins postés en embuscade sur les toits. Tex croise alors le regard de défi de Wasape et il sait qu’il devra l’affronter seul afin d’éteindre la légende et le brasier en train de naître.
Suite et fin de l’aventure débutée avec « Furia Comanche », « Le guerrier immortel » monte d’un cran en intensité car de multiples affrontements ont lieu et les dégâts laissent des traces terribles. La mort n’est pas un jeu virtuel. Le dessin de Seijas reste sans défaut, beau, lisible, bien cadré et mis en page. Visiblement, l’osmose a fonctionné entre le scénariste italien Pasquale Ruju et le dessinateur argentin Ernesto Garcia R. Seijas.
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