[Backflash | Richard Stark, Danièle Bondil (Traducteur), Pierre Bondil (Traducteur)]
Avant Flashfire, et après Comeback, un nouveau braquage de Parker, le héros froit et efficace de Richard Stark. Cette fois, il s'agit de braquer un casino flottant. Et les bateaux, Parker n'aime pas ça: ça resemble trop à des cellules.
A force d'en lire des comme ça et d'y récupérer autant de bons tuyaux, je vais presque pouvoir me lancer dans une carrière criminelle... Presque parce que si Parker rentre chez lui, entre chaque "mission", ce n'est pas seulement parce que ses coups sont préparés au millimètre, et que la chance pourvoie au reste, mais bien parce qu'il est, apparemment, dénué de tout sentiment, imperméable à la pitié, à la faiblesse. Il n'est pas cruel, pas violent. Il n'aime pas tuer. Mais il fait ce qu'il faut pour sa sécurité, avec un détachement qui fait froid dans le dos.
----
[Recherchez la page de l'auteur de ce livre sur
Wikipedia]