"XXVI siècle. En prenant part aux jeux de la machine dans l'espoir de décrocher une place sous le soleil de Vénus, Gilbert Gosseyn découvre qu'il n'est pas l'homme qu'il a toujours cru être. Ses souvenirs ne lui appartiennent pas, son épouse, qu'il croyait décédée, ne l'est pas, et d'ailleurs, ce n'est même pas sa femme ! Pourtant, il comprend vite qu'il n'est qu'un pion au sein d'un vaste complot, dont la finalité lui échappe. Un pion ou la pièce maîtresse ? Jalon majeur de l'oeuvre de Van Vogt, immense classique de science-fiction, Le cycle du Â, qui comprend Le monde des Â, Les joueurs du  et La fin du Â, est ici publié pour la première fois dans son intégralité, dans les traductions de Boris Vian revues par Jacques Sadoul."
J'avais lu la trilogie quand j'avais 18 ans (il y a une moité de vie!) et je me souviens que j'avais rien compris mais que j'avais bien aimé. Aujourd'hui je trouve cette position ridicule, mais j'assume. J'ai donc acheté la trilogie et l'ai relue. J'y ai pris du plaisir, surtout en redécouvrant les principes de la sémantique générale. Mais j'ai été très déçu par le dernier petit de la trilogie. L'auteur explique qu'il ne voulait pas écrire un troisième mais qu'il a cédé aux pressions de son entourage. Il aurait mieux fait de 'abstenir. Je ne l'ai pas fini. Trop de répétitions, trop d'explications inutiles, et trop de mou bonbon-rose. Ce qui tranche vraiment avec les deux premiers.
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