L'amorce: un ministre algérien craint pour sa vie et se referme lentement sur lui-même avant de s'intéresser quelque peu à ses voisins.
Chronique d'une société tourmentée, galerie de personnages tous plus farfelus les uns que les autres, coexistence hypocrite d'une paranoïa étrange et du libéralisme le plus alcoolisé qui soit : ça aurait pu faire une jolie tambouille, sauf que en fait ça ne prend pas.
Ce n'est pas inintéressant, c'est un peu drôle de ci de là, mais j'ai vraiment eu du mal à rentrer dans l'histoire et à comprendre l'atmosphère particulière de ce livre. Je me demandais parfois sur certains passages si c'était de l'humour, de l'ironie ou du macabre le plus total, sans jamais vraiment pouvoir choisir entre ces trois options - mauvais signe...
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