Véronique Ovaldé nous offre une écriture fluide , ses écrits sont faciles , plaisants. Elle nous amène souvent dans des pays d'Amérique latine, des petits villages où vivent des gens simples  dans une nature superbe.  Ses personnages sont en quête d'absolu, de vérité : tout sauf l'ennui , la recherche du profit ;ils sont bien sympathiques .Paloma, Vida et Taïbo vont  tout quitter pour vivre la  vie qui leur convient ; une mère et une fille qui s'ignoraient vont se retrouver . C'est un peu trop  idéal mais un bon moment de lecture .
Un épisode particulièrement marquant que celui de la chasse au vison où Adolfo s'oppose à son père en refusant de s'attacher au cadavre . Un drame  la glace du lac se rompt .
" Il a regardé cette corde qui le maintenait à son père,il l'a regardé avec une telle ardeur qu'elle aurait pu prendre feu entre ses doigts.
Je lâche?"
et une déclaration d'amour 
"quand elle l'interroge, il lui fait une réponse bizarre, il lui dit que ce qu'il veut, c'est  rester auprès d'elle parce qu'elle est comme un ensemble de molécules dans un vent stellaire et qu'il a peur qu'elle ne s'éparpille dans l'espace"
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