[Le livre des choses perdues | John Connolly, Pierre Brévignon (Traducteur)]
J’adore, un livre ou plutôt, un conte, avec tous les éléments, le héro, les êtres fantastiques, les monstres, les bienveillants, les malveillants et une jolie fin ! Doublé d’une belle métaphore de l’enfer et du paradis, un délice, à lire d’urgence pour tout ceux qui ont gardé une âme d’enfant !
« … la mère de David lui répétait souvent que les histoires étaient vivantes. Pas vivantes comme peuvent l’être les gens, ou même les chiens ou les chats (… ) Les histoires sont différentes, elles se mettent à vivre dès qu’on les raconte. Sans une bouche humaine pour les lire à haute voix ou une paire d’yeux écarquillés sous les draps, les parcourant à la lumière d’une lampe de poche, elles n’ont aucune existence réelle dans notre monde. (… ) Elles s’enracinent dans l’imagination des lecteurs et peuvent le métamorphoser. Les histoires veulent être lues…
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