J'étais habitué à une écriture beaucoup plus noire de la part de Thierry Di Rollo, une écriture qui détonnait dans le paysage des littératures de l'imaginaire (science fiction, fantasy...) Est-ce le fait d'être appliquée au polar plus traditionnel qui la rend "sèche", froide ? J'ai eu quelque difficulté à aller au delà des simples faits tant cette écriture cherche à être précise, à trouver la poésie (sombre certes) qui m'avait marqué dans les "Trois reliques d'Orvil Fisher" par exemple.
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