"Les gens seraient si bons, s'ils pouvaient mourir d'abord..."
La dernière phrase du livre est terrible mais ne peut que nous donner à réfléchir.
L'histoire est celle d'un maquis actif qui commence par libérer des prisonniers dont un homme de trop. Ce type, un "idiot du village", va être l'objet de confrontation d'idées entre le trio qui commande le groupe de résistant : Jean, le commissaire politique, un communiste pur et dur("mieux vaut avoir tort avec les autres que raison tout seul"), Thomas, le commissaire technique, un humaniste, et Paulo, le chef, homme pratique, ancien de la guerre d'Espagne.
Les situations que je retiendrai : la prise temporaire d'un village avec le départ retardé et l'attaque suicide d'un jeune milicien, son exécution, mais aussi la lessiveuse de pâtes !
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