Abel Tiffauges sent poindre dès l'âge du pensionnat une vocation étrange, qui semble être celle d'un ogre. Mais entre la réalité de l'Allemagne nazie et le monde enchanté des contes indo-européen, cette vocation sera celle de "la vocation maternelle de l'homme".
J'ai mis 100 pages à commencer à "entrer" dans le romain et décider que je pourrai peut-être le finir... puis 200 à comprendre que j'avais affaire à un très grand roman : OK, sans doute comprends-je vite à condition qu'on m'explique longtemps, mais à ma décharge, la problématique ogresse, phorique, maternelle, centaurique, etc. de l'Ange Anal (vous apprécierez) est tellement complexe, profonde, qu'avant d'en percevoir la magnifique construction, servie par une langue particulièrement talentueuse, il m'a fallu un peu de temps...
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