Je recherchais de traces de la levantinité de cet artiste plutôt singulier (qui se rapprocha puis s'éloigna des courants picturaux les plus importants de son époque): sur cela, j'ai été déçu. Il ressort de ces mémoires un ego absolument mégalomane, bien au-delà du domaine de la peinture (on me reparlera de Dali!), tel qu'il peut ressortir de la cit. suivante:
"Je suis un parfait gentilhomme et je possède en moi le sens de la justice et de la vérité. Il faut avoir mon exceptionnelle intelligence, ma personnalité extra-puissante, mon courage, et mon ardent besoin de vérité..."
Un tel personnage ne pouvait qu'accuser de forts symptomes paranoïaques, et cela constitue sans doute un fil rouge de l'ouvrage.
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