On l’aura compris, La fille du fossoyeur est un roman fleuve, plus de six cents pages, dans lequel on se laisse emporter par la violence des sentiments : amour, désir, haine, difficulté d’être.
Un roman sur la résilience et la survie où l’explication de l’existence ballottée et tourmentée de Rebecca ne sera dévoilée que dans les dernières pages très chargées en émotion.
et c'est long... très long à lire... j'avoue que j'ai bien failli abandonner plusieurs fois... il me reste encore un livre de Oates en attente, mais je ne me sens pas le courage de l'ouvrir avant quelques mois... et encore...
Surement de la très bonne littérature, mais aussi très ennuyeux.
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