Alors là, il faut que je vous dise : un titre accrocheur et une quatrième de couverture qui laisse pantois.
Bref tout partait bien.
Mais la thèse de Roger Sabbagh est moulinée sur plus de 400 pages, bonjour l'ennui, et l'impression de se perdre dans ses explications pseudo-pédagogiques.
L'idée, car il faut en parler est que le peuple juif procède des plus grands de l'Egypte, que la symbolique des pharaons prouvent leur importance, leur prééminence, ey compris dan le panthéon égyptien, etc.
Voilà, l'épreuve est terminée. Je suis allé au bout ,mais à écrire cette critique, je vois bien que je n'ai pas imprimé !

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