Le plaisir de lire des romans consiste souvent à s’identifier avec le héros, de même qu’autrefois on sortait d’un western pour monter sur son cheval et prêt à dégainer, et quel plaisir de vivre les aventures de Kurt Wallander, même à rebours, en sens contraire des aiguilles du temps, de le voir se débattre au milieu de problèmes existentialistes qui peuvent parfois nous concerner. Que dire de l’histoire, sinon qu’elle nous emmène à Riga dans une période troublée juste après la chute du Mur, alors que la Lettonie hésite oscille entre deux chaises.
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