Un deuxième tome plus sombre que le premier : Sinouhé voit s'écrouler le règne du pharaon Akhénaton dont il n'a jamais pu totalement penser que la théologie était hérétique. Sur Thèbes s'abattent les ambitions, la corruption, la violence. Les peintures de la guerre, civile et extérieure, sont tellement sanguinolentes que j'ai parfois pu me croire à nouveau dans
Doron le Calvite, le burlesque en moins ! ;) Ces peintures frôlent souvent la complaisance, dans leur répétition, et c'est paradoxalement l'origine des quelques longueurs à déplorer.
J'ai souvent été captivée par le récit, parfois émue. Bien entendu, je suis allée vérifier souvent certaines choses qui me surprenaient et que j'ignorais.
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