Présentation de l'auteur :
Fabienne Cois
Qui je suis :
Je suis née le 23 septembre 1965 à Marseille, j'habite dans l'Aveyron et je suis très-très-petite-éditrice.
Ce qui me décrit :
« Je suis le Centre, l'épicentre et le Milieu. Et je suis modeste... » (ceux qui me connaissent reconnaîtront.)
Parcours dans l'écriture :
Quelques poésies et nouvelles par-ci par-là, un premier roman en guise d'amuse-gueule, j'espère d'ici peu entamer un gros pavé bien saignant...
Citation préférée :
« Nous sommes tous des malades mentaux. » Stephen KingLa femme qui tua Stephen King de Fabienne Cois
Éditeur : La librairie. org
Roman : Thriller (123 pages)
Collection : Idées noires ISBN : 2356470042
Prix public : 14 euros Prix adhérent : 9.8 euros
Présentation de l'éditeur :
«... Engoncée dans mon manque de désir matériel, je n'aurais même pas su quoi demander au père Noël, même s'il s'était présenté chez moi personnellement. De toutes façons, je n'avais plus l'âge de croire au père Noël... Et bien pourquoi pas ? Justement, IL FALLAIT croire au père Noël ! Maintenant ou jamais. Ne plus croire, c'était renoncer à ses rêves, renoncer à ses talents, renoncer à prendre rendez-vous chez le coiffeur au moins une fois dans sa vie. Bordel ! 42 ans ! J'étais décidée. Je m'armai de patience, et j'allumai mon ordinateur. Rien ne vint. L'affreuse page blanche de l'écrivain ! C'était toujours un début, tiens, si j'avais l'affreuse page blanche, c'est que j'étais presque un écrivain, j'étais presque riche ! ... »
Mon commentaire
Un sourire se dessine sur mon visage pendant la lecture de ce roman, grave dans sa légèreté, profond comme une réflexion de ménagère de moins de cinquante ans, furieusement non-intellectuel.
Un jeune auteur doit-il se laisser bouffer par la monstruosité des romanciers à succès ?
Cois, nous donne une solution pour nous débarrasser de ces illustres écrivains.
La finesse de la romancière réside dans la gymnastique habile qui consiste à promener son lecteur dans un décor banal, parcouru par des figurants ordinaires.
Mon sourire s'estompe lorsque la dernière page est tournée, dont le triste "déjà" avalise ma déception du trop peu à lire.
Mon sourire reprend avec l'espoir de parcourir prochainement une nouvelle aventure de la mère Cois (une fameuse bourrique)
A Lire l'esprit libre (bertrand môgendre).
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