Pffiou... Comment dire ?
Quelle vision terrible du monde, et cette horrible 3ème partie, ou tout rêve, tout
espoir, toute chance, tout bonheur est évaporé. Troisième partie qui fait froid dans
le dos, nous fait rager, pleurer, hurler ; on voudrait tant le sauver. Et cette conclusion
sans espoir.
Et dans l'histoire, que d'échos à notre 2007, que de de télescopages donnant à réfléchir
sur notre propre temps.
Bref, à lire, et pour ceux qui ne connaissent pas, à découvrir d'urgence.
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La 4ème de couverture dit ceci :
George Orwell
1984
Traduit de l'anglais par Amélie Audiberti
De tous les carrefours importants, le visage à
la moustache noire vous fixait du regard. Il y
en avait un sur le mur d'en face. BIG BROTHER
VOUS REGARDE, répétait la légende, tandis que
le regard des yeux noirs pénétrait les yeux de
Winston... Au loin, un hélicoptère glissa entre
les toits, plana un moment, telle une mouche
bleue, puis repartit comme une flèche, dans
un vol courbe. C'était une patrouille qui venait
mettre le nez aux fenêtres des gens. Mais les
patrouilles n'avaient pas d'importance. Seule
comptait la Police de la Pensée.
George Orwell (1903-1950) a été policier aux Indes, clochard à Paris,
combattant en Espagne, speaker à la BBC et surtout un grand écrivain :
La Vache enragée, Et vive l'Aspidistra, Hommage à la Catalogne, La Ferme
des Animaux, et le prophétique 1984, peinture d'un terrifiant monde
totalitaire.
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