La narratrice écrit à sa petite-fille, tout simplement, en lui « ouvrant son cœur » (je sais ça fait cucul la praline, de sortir une expression pareille, mais c’est pourtant l’image qui me vient).
Elle revoit sa vie, revit ses moments forts en lui parlant sans détours des obstacles qu’elle a rencontrés, des amours qu’elle a vécu…
C’est simple et beau, c’est touchant. Une histoire pareille, ça rassemblait tous les éléments nécessaires pour créer un truc mièvre comme on en croise tant (je ne fâcherai personne donc je ne cite aucun auteur, mais je n’en pense pas moins…), ou alors un baratin pseudo-philosophique (idem…).
Eh bien pas du tout, j’ai trouvé que le ton était très juste, des vérités sages sans être mielleuses ni péremptoires, une histoire belle et agréable à lire.

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Culpabilise pas Kalistina ! cul cul la praline ou pas l auteur ouvre son coeur. Point barre. (oui là je sais je vais commencer à culpabiliser pour avoir écrit ./) Et puis tu peux citer les auteurs , aprés tout pourquoi prendre des gants ? c est juste un point de vue et non un jugement de valeur.....

Oh mais je ne culpabilise pas Quant aux auteurs mièvres ou pseudo-philosophiques, je vois que tu en as critiqué un, largement traduit de par le monde, aujourd'hui même