"Abdellah le pressent : aucune chance, aucun avenir à Salé.  Etudiant en lettres, il choisit de s'exiler à Paris.  Loin de sa famille, loin des croyances d'un autre temps, il se sent enfin libre et prêt à assumer son homosexualité.  Mais que vaut la liberté en regard de la solitude, des problèmes d'argent et des peines de cœur ?  Depuis son studio à Barbès, Abdellah se prend à rêver de son Maroc."
J'ai trouvé ce roman agréable à lire, plutôt poétique, mais tellement allusif qu'il en est presque évanescent...  Mon sentiment en le refermant était qu'il lui manquait quelque chose... de la consistance, peut-être ?
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