Je n'avais pas réussi à lire "l'art du roman". Ça m'avait carrément gonflé, comme dit Renaud dans une chanson (à l'époque où il était chanteur).
Mais comme je suis un gars persévérant et que je suis tombé dans le grenier de mes beaux-parents sur l'insoutenable légèreté de l'être, que le titre à lui seul m'inspirait des tas de réflexions intelligentes (...), je m'y suis mis.
Je ne le regrette absolument pas.
Je suis perdu un peu, pas mitigé, mais perdu. Parce que ce livre est très profond, qu'il aborde les questions existentielles, et que - comme la vie - il est mélangé. J'en ressors un peu mélangé moi aussi. Pas de flou. Pas de perte du chemin. Non, juste mélangé. Je ne sais plus trop comment ça a commencé, ce livre. Je ne me rappelle même plus très bien comment il fini, et comment on en est arrivé là. Mouais, vous vous dites : celui-ci a de gros problèmes! Ben peut-être, mais ce livre me laisse un peu comme ça, comme certains films qui vous remuent sans que vous sachiez exactement pourquoi.
On a là un roman... bien construit. Bien fait. Intéressant. Bref, le langage atteint chez moi ses limites ICI exactement.
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