Ce livre n'est pas dispo en français, et c'est bien dommage. Parce qu'outre les spécificités américaines (l'auteur est pasteur à Seatlle) ce livre renferme des choses précieuses que les chrétiens français auraient besoin d'entendre... afin d'arrêter d'être à côté de la plaque.
Un bon bouquin qui contient une bonne dose de fraîcheur, écrit dans un langage de rue (c'est la première fois que je lis un livre chrétien écrit comme ça), avec une sacrée dose d'ironie et de sarcasme. Seul point d'ombrage : la vision de l'auteur quant à la masculinité (l'homme au foyer serait une hérésie, si j'ai bien compris). Mais je vais considérer ça sous le regard de la préférence culturelle...

Ce livre m'a été prêté, mais je pense me l'acheter un jour, afin de pouvoir écrire dedans.

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As-tu lu des livres de Guy Gilbert ? A la longue on s'en lasse, mais un ou deux permettent une certaine remise en question.
C'est ton expression "langage de rue" qui m'y a fait pensé. Il est probable qu'ils n'aient aucun rapport avec le livre que tu critiques ici.

Et moi je rebondis sur ton message, alors que Laudateur n'a pas encore répondu, car Guy Gilbert est pour moi l'exemple emblématique de la "perversion" de la religion...On va pas développer ici mais tout cet aspect "eh oui mec Jésus il en avait ! c'était le premier révolutionnaire ! " me fait ...gerber. Et c'est un athée (bon parfois un peu agnostique...) qui te l'écris ! parfois je me demande si les athées ne sont pas les derniers vrais défenseurs dela religion ?

Ce que tu dis est vrai, Amiread : les athées se positionnent par rapport à Dieu. Bien qu'athées, ils sont croyants, donc
Guy Gilbert? Ce qui m'intéresse chez lui, c'est qu'ils se frotte aux gens. Je n'ai rien lu à son sujet ou de lui, mais je connais le personnage de notoriété. Mais j'ai tendance à penser qu'en effet, il y a une sorte de perversion du message. Il faudrait que je lise pour pouvoir le démontrer, or ce n'est pas ma tasse de thé de démontrer de telles choses. Si les "loubards" - comme il aime les appeler - arrivent, grâce à Guy, à retrouver de l'espérance dans la vie, c'est déjà pas si mal, non?

En effet, l'expression "langage de rue" est peut-être mal choisie. J'aurais dû plutôt écrire : langage que les jeunes adultes (20-30 ans) utilisent entre eux lorsqu'ils se retrouvent entre potes. Mais bon, passons... merci pour vos réactions qui devraient, Dieu voulant, m'aider à mieux m'exprimer!