[Alack Sinner, tome 8 : Histoires privées | Carlos Sampayo, José Muñoz]

Je me sers de ce volume pour présenter toute la série. En ce moment je suis en pleine lecture de BD policière dans le cadre de la préparation du programme d'animation de notre bibliothèque. Je pourrais passer en revue plein d'autres séries en cours (Le Choucas de Lax, John Doe...) mais ce sera pour quand j'aurai le temps.
En tout cas pour le moment, revenons sur Alack Sinner pour lequel j'ai une affection tout particulière. Tout d'abord par l'origine : j'ai une grosse faiblesse pour les auteurs italo-argentins (voir Breccia, Battaglia et tout le catalogue des éditions Mosquito) car ils ont une démarche esthétique très avant-gardiste. Ils arrivent à partir d'une simplicité dans le trait, les contrastes, les choix des encres pour arriver à une grande richesse expressive. Dans la série Alack Sinner, c'est très net avec ce que je disais dans la présentation de la série : les "détournements extérieurs".
Alack Sinner c'est très sombre, désespérant, sans être violent. On est dans un univers très riche, mouvant.

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