Paris, 1835. Un drame banal basé sur un triangle amoureux : Eudoxie, la fille du concierge d'un immeuble de la rue de Rivoli, est amoureuse d'un poète solitaire et exilé qui, lui, n'a d'yeux que pour une jeune femme aperçue sur un banc du jardin des Tuileries.
Un exemple classique du romantisme du XIXème siècle.
J'ai trouvé plus d'intérêt à la nouvelle "une histoire de soldat" où, un jeune homme part pour un service militaire de six longues années en remplacement du fiancé d'une jeune fille qui a tiré un mauvais numéro. Emue la jeune fille découvrira le caractère lâche de son fiancé et partira rejoindre celui qui l'aime en secret.

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J'ai toujours trouvé incroyables ces histoires de soldats qui se font remplacer.
J'ai entendu parler d'un psychologue dont le patient avait le tic de frotter sans arrêt ses pouces contre ses doigts suivants, imitant finalement ce geste inélégant qui accompagne le thème de l'argent. Ce patient avait également un problème avec l'argent, faisait tout ce qu'il pouvait pour ne pas s'y confronter au point qu'il oubliait d'apporter de quoi régler ses séances. Il a fini par découvrir qu'à l'origine, il y avait la culpabilité d'un ancêtre qui avait payé pour être remplacé à la guerre... et le remplaçant y était mort. Le coupable était l'argent.
Je souris à l'homonymie Louis Colet...