Bonjour à tous,
Lancé depuis un certain temps dans l’écriture d’un roman, je me suis maintenant décidé à le mettre en ligne gratuitement sur internet. Celui-ci vous propose de suivre l'histoire de Matthias, se réveillant un jour sans aucuns souvenirs de sa vie passée. Avec lui, élucidez le mystère, découvrez un monde transformé, et préparez-vous à la révélation finale...
Vous allez plonger dans un univers haletant où se mêlent hypothèses, exploration et réflexions existentielles: cette "expérience sociologique" ne vous laissera pas indifférents...
Je vous propose plus bas un court extrait de cette œuvre, si le suspense et l’envie d’en savoir plus se saisissent de vous, n’hésitez pas à suivre le roman sur
son site web.
Vous bénéficierez ainsi des toutes dernières informations au sujet du projet, vous pourrez vous inscrire à la newsletter, etc…
Voici l’extrait :
"Je saisis la chaise et l’abattis de toutes mes forces sur le verre. Celui-ci se fissura, mais ne brisa pas. A l’intérieur, la femme se débattait de moins en moins fortement. Je redoublai d’efforts, et cognai à nouveau la paroi, qui résista malgré tout. Je répétai mes coups. Les magnifiques yeux bleus clairs de la captive se fermèrent doucement. « Non !!! » m’écriai-je avec tout le désespoir que je contenais.
Peut-être fut-ce ce cri qui brisa le verre. Quoi qu’il en fût, le choc que j’assénai cette fois créa une brèche dans le cocon, par lequel le liquide s’écoula immédiatement. Je brisai le reste de la paroi, tâche plus facile une fois celle-ci affaiblie, afin d’extirper le corps de la pauvre femme. Je le déposai à mes pieds et m’agenouillai, en sanglotant. La première personne vivante que je voyais devait-elle forcément rendre l’âme avant même d’émettre un mot ? Ce n’était pas la meilleure façon de commencer une vie ! Si j’avais été plus rapide, aurais-je pu la sauver malgré tout ? Comment avais-je pu être aussi maladroit, en ne lui portant pas secours! Et sa mort désormais, était de ma faute. Je me morfondis sur mon sort en silence, en essuyant mes larmes. Un silence de mort envahit la pièce et pénétra mon esprit. Je n’étais plus que ruine et désolation.
Soudain, la femme toussa, et ouvrit les yeux. La tristesse me quitta aussi vite qu’elle était apparue, pour être remplacée par de la joie. Je la regardai, heureux, et ne trouvai rien à dire. Je la pris dans mes bras, à sa grande surprise. Ce fut elle qui me questionna en premier :
- Comment t’appelles-tu ?
- Matthias, répondis-je sans réfléchir."
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