Douze nouvelles, douze enquêtes d'inégale valeur. Aucune n'est géniale, mais aucune n'est nullissime...elles sont toutes sauvées (ou portées) par la narration de Conan Doyle, l'humour et le flegme britannique, le duo Holmes - Watson (que je n'arrive plus à imaginer autrement que Downey Junior - Law depuis le film de Guy Ritchie).

Il y a des variations amusantes dans ces archives, comme ces deux nouvelles écrites par Holmes et celle où c'est Watson qui mène l'enquête... "Enfantin mon cher Watson, bien que vous soyez passé dans votre mission à côté de tout ce qui était important, les choses qui se sont imposées d'elles-mêmes à votre observation me donnent beaucoup à penser."

Bref, au-delà des histoires pas toujours très intéressantes et celles dont le dénouement ne casse pas trois pattes à un canard, il y a toujours ce duo formidable, cette belle écriture, la Londres victorienne, les voyages en train (qu'est-ce qu'ils étaient bien équipés)...bref, tout ce qui fait le charme d'une aventure de Sherlock Holmes x 12.

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