Ce recueil de nouvelles ne m'a pas beaucoup plu. Il y a quelques perles parmi la cinquantaine de courts textes (5 à 10 pages) mais pas suffisamment pour retenir mon attention : je n'ai pas lu les dix dernières nouvelles.

La plupart des textes sont des contes fantastiques qui évoquent Kafka, Oscar Wilde ou le Neil Gayman de Miroirs et fumées. Les travers de l'homme y sont analysés : orgueil, avarice, envie... Mort et peur de vieillir sont omniprésentes. L'auteur se met souvent en scène, notamment dans une confession à son rédacteur en chef pour demander une augmentation de salaire pour son nègre.

La taille des textes en facilite la lecture (surtout dans le métro!), c'est bien écrit mais je n'ai pas eu l'étincelle.

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