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Les notes de lectures recherchées |
4 livres correspondent à cette oeuvre.
Il y a actuellement 3 notes de lecture correspondant à cette oeuvre (voir ci-dessous).
Mots-clés associés à cette oeuvre : amour, archipel, communaute, famille, ile, incendie, incendies, litterature suedoise, mort, souvenir, suede, vieillesse
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Auteur |
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Message |
maroni
Sexe: Inscrit le: 02 Jan 2009 Messages: 937 Localisation: Paris
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Posté: Jeu 12 Juil 2018 18:20
Sujet du message:
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Commentaires : 0 >> |
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"Les bottes suédoises" est un roman intéressant car Mankel est maître dans l'art de faire vivre ses personnages dans leur environnement. Comme là il s'agit d'iliens, on ressent la force de la nature liquide, de la mer, de la pluie, la marque et la puissance des rochers, des gouffres. Les personnages sont entiers en même temps qu'ils ne se livrent pas, qu'ils restent mutiques sur une part d'eux-mêmes.
Difficile de ne pas faire de comparaison entre Louise, la fille du Fredrick le médecin retraité, et Linda, de l'inspecteur Kurt Walander.
Ainsi ce dernier roman clôt l'oeuvre, d'un grand écrivain.
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Auteur |
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Message |
andras
Sexe: Inscrit le: 20 Sep 2005 Messages: 1800 Localisation: Ste Foy les Lyon (69) -- France
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Posté: Jeu 15 Déc 2016 10:48
Sujet du message:
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Commentaires : 0 >> |
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J'ai retrouvé dans "Les bottes suédoises" beaucoup de choses que j'avais aimées dans le roman qui le précédait, "Les chaussures italiennes" : le rythme lent, la prégnance de l'archipel où se déroule l'histoire (paysages, saisons, animaux, écologie ..), l'attention portée aux autres, aux proches du narrateur (ce vieux monsieur solitaire dont la maison sur une petite île vient d'être incendiée) comme aux personnes rencontrées fortuitement, la recherche du temps passé, des souvenirs qui surgissent quand on ne s'y attend pas... Comme dans "Les chaussures", il y a des notes d'humour et beaucoup d'auto-dérision, mais la tonalité est cette fois plus sombre, l'approche de la mort se fait davantage sentir, symbolisée par la voile noire d'un véliplanchiste. Dans le dernier tiers du livre, l'angoisse de l'auteur est presque palpable à travers celle de son personnage. Henning Mankell nous laissé là un très beau testament.
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