Ce dernier tome est lourd de redites d'évènements décrits dans les tomes précédents. La fin n'apporte pas de réponse spectaculaire.
Deux bonnes surprises : l'apparition de la jeune Angélique (qui laisse supposer qu'une suite serait possible avec la poursuite de l'affrontement entre l'ombre et la lumière au travers de la seconde génération), et l'astuce de Gilbert le Simple pour écarter la complice du camerlingue sans se souiller les mains.
Toujours une aussi bonne description des vêtements et des plats habituels en ce début de XIVème siècle.
Ce tome est plus particulièrement consacré à la recherche d'une enherbeuse (empoisonneuse) dans un couvent de bernardines.
Mais il n'y a pas la même intensité dramatique que dans le "Nom de la rose" et un peu trop de longueurs.