6 livres correspondent à cette oeuvre.
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[Tex. 588, Il castello nero | Gianluigi Bonelli ; Aureli...] |
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Franz
Sexe: Inscrit le: 01 Déc 2006 Messages: 1992 Localisation: Nîmes
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Posté: Jeu 12 Sep 2019 15:33
Sujet du message: [Tex. 588, Il castello nero | Gianluigi Bonelli ; Aureli...]
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Le château noir.
Alors que Kit Carson est tombé aux mains du Tigre Noir et enferré dans un cachot de son château, Tex Willer, le ranger et Tom Devlin, le chef de la police de San Francisco essaient de se coordonner pour faire aboutir la filature de Lohana, maîtresse dévouée du chaud fauve chauve. Tex s’y colle mais est pris dans un traquenard machiavélique.
En faisant ressortir sur le devant de la scène un ennemi juré du ranger texan, Claudio Nizzi reprend la palette et les attributs du méchant, sa faconde, sa cruauté, ses plans infaillibles, ses tenues vestimentaires, sa maîtresse métisse et sensuelle, dévouée corps et âme, ses affidés exotiques, musclés et barbares, pour le poser dans le tableau noir des bas-fonds de San Francisco d’où le mal pourra irradier. Même abattu, le mal pulse encore. Outre une aventure bien troussée qui trouve son dénouement dans ce n° 588, le grand plaisir vient du graphisme enlevé d’Andrea Venturi dont la précision et l’élégance du trait ravit l’œil à chaque instant.
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Message |
Franz
Sexe: Inscrit le: 01 Déc 2006 Messages: 1992 Localisation: Nîmes
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Posté: Jeu 12 Sep 2019 15:28
Sujet du message:
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La griffe du Tigre.
Appelés par leur ami Tom Devlin, chef des forces de l’ordre de San Francisco, Tex Willer et Kit Carson débarquent dans la grande ville policée pour tenter de découvrir d’où proviennent les cargaisons d’opium qui ravagent la cité. Très vite, les rangers identifient le caïd derrière le trafic de drogues en la personne du Tigre Noir, ennemi juré récurrent. La partie va être d’autant plus rude à jouer que les deux limiers vont devoir enquêter dans le quartier chinois peu désireux d’y voir des Blancs circuler en terrain conquis pour poser des questions dérangeantes. Rapidement, les poignards volent, les poings cognent et les feux d’artifice explosent dans une pluie d’étoiles.
Conçue en deux volumes sur un total de 228 pages, l’aventure précipite les deux rangers, anachroniques avec leurs stetsons et leur usage expéditif de la justice dans une grande ville moderne en proie aux bassesses des notables et à la violence des mafieux. Le Tigre Noir est fidèle à sa réputation de manipulateur cruel, servi par une sculpturale femme dévouée, des nervis bodybuildés et des requins voraces. L’humour est présent à travers notamment la réaction des cochers vis-à-vis des comportements alertes des deux amis. Sur une histoire bien construite, au tempo soutenu, le dessin séduisant d’Andrea Venturi réjouit à chaque instant. La précision du trait est remarquable. Les hachures parallèles suivent toujours le mouvement d’ensemble. A la dynamique du graphisme s’adjoignent des expressions faciales éloquentes et des cadrages en plongée réjouissantes. L’œil n’en finit pas de brouter des surfaces qui ont été enchantées par un virtuose du dessin.
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[Tex. 589, La rivolta dei Cheyennes | Gianluigi Bonelli ...] |
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Message |
Franz
Sexe: Inscrit le: 01 Déc 2006 Messages: 1992 Localisation: Nîmes
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Posté: Lun 03 Sep 2018 17:37
Sujet du message: [Tex. 589, La rivolta dei Cheyennes | Gianluigi Bonelli ...]
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La révolte des Cheyennes.
Le Commissariat aux affaires indiennes a mandaté Tex Willer pour évaluer et tenter d’apaiser le soulèvement de la réserve cheyenne de North Loup River au Colorado, contrariant les appétits fonciers de Mister Rockman et consorts, désireux de spolier les Cheyennes de leurs terres tout en étendant la voie ferrée. Il suffit de déclencher la colère et de mater les rebelles par la soldatesque. Bien informé, Rockman décide de prendre les devants et d’engager Jack Braden, homme de main des basses œuvres. Le nervi ne perd pas de temps et enrégimente une tribu de malfrats. La confrontation éclate inévitablement mais les rangers ne baissent pas les bras. Toutefois, Braden a plus d’un tour dans son sac et d’un rebondissement en réserve.
Le scénariste Claudio Nizzi reprend le thème archi-couru de la spoliation indienne par des affairistes mais il l’agrémente d’épisodes percutants (rixe au saloon, embuscade, attaque de convoi, de ranch). Le tempo soutenu ne mollit pas et s’approche toujours un peu plus du commanditaire en col blanc. Pasquale del Vecchio est un dessinateur magistral. Son trait moelleux n’efface en rien sa vigueur. Son graphisme rappelle parfois celui du regretté Raphaël Marcello. La suite et conclusion de l’aventure se trouve dans le n° 590 intitulé « Tre lunghi giorni ».
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[Tex. 582, La maschera dell'orrore | Gianluigi Bonelli ...] |
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Message |
Franz
Sexe: Inscrit le: 01 Déc 2006 Messages: 1992 Localisation: Nîmes
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Posté: Mar 17 Mar 2015 12:22
Sujet du message: [Tex. 582, La maschera dell'orrore | Gianluigi Bonelli ...]
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Le masque de l’horreur
Dans le nord du Montana, les rangers Tex Willer et Kit Carson chevauchent vers le camp d’Ours Silencieux car le chef Dakota les a appelés, fortement préoccupé qu’il est par les disparitions des jeunes guerriers de sa tribu qui répondent aux sirènes d’un mystérieux chef dissimulé derrière un masque inquiétant et retranché dans un fortin protégé d’un lac. L’homme masqué fomente une nouvelle guerre indienne. Guettés par des Dakotas hostiles, les deux amis sont mis à mal mais finissent par s’extirper indemnes de l’attaque indienne foudroyante. Les rangers apprennent qu’un trafic d’armes alimentant les rebelles Dakotas est orchestré par Bennett, un affairiste sans scrupule, « un vero pachiderma » aux dires de Carson lorsqu’il le découvre à Big Fork, à l’embarcadère sur Flatehead Lake.
Le scénario conventionnel de Claudio Nizzi entraîne les rangers dans le Montana. Les lacs omniprésents et les montagnes densément boisées changent des déserts arides du Texas. Le récit se dévide naturellement en s’attelant à la venue des deux compagnons pris immédiatement à partie. Tex et Kit mènent l’enquête et s’approchent progressivement de l’épicentre, le fortin retranché tenu par les jeunes Dakotas et leur mystérieux chef. Le graphisme de Jose Ortiz s’est amenuisé en perdant les moelleux des chairs et des textures lorsque les aplats et les hachures s’harmonisaient. Les visages sont moins travaillés et cela amoindrit le plaisir du lecteur. L’intérêt reste toutefois constant même si la mémoire des œuvres passées réalisées par le maître espagnol joue en sa défaveur.
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[Tex. 582, La preda umana | Gianluigi Bonelli ; Aurelio ...] |
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Auteur |
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Message |
Franz
Sexe: Inscrit le: 01 Déc 2006 Messages: 1992 Localisation: Nîmes
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Posté: Sam 14 Mar 2015 11:47
Sujet du message: [Tex. 582, La preda umana | Gianluigi Bonelli ; Aurelio ...]
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La proie humaine
Toujours sur la piste de Jerry Norton, Tex Willer et Frank Forrest parcourent les paysages sauvages et enneigés des Rocheuses. Alors que Tex est persuadé de l’innocence de son ami Jerry, Frank a d’autres visées en tête. Tex sait que la tête de Jerry est mise à prix et les chasseurs de prime ont commencé la traque. Lester Rowen, père tyrannique et manipulateur, violent et sans scrupule, cherche à protéger son fils incontrôlable, Rick, fiancé frustré et jeune homme irascible, aussi dément que son père est retors. Lester a enrôlé Plummer et toute une bande pour faire le ménage lorsqu’ils auront déniché Jerry, Tex et Frank. Dans ce jeu de dupes, la seule certitude tient à l’amitié indéfectible entre le ranger et le shérif métis.
Fin du chef-d’œuvre débuté dans le n° 581, « La proie humaine » ne faillit pas dans son intensité. Le dessin des Cestaro est bluffant à chaque case. Les impacts des balles clouent de stupeur les perdants. Les cadrages en gros plans sur les visages et la maestria graphique jouant des aplats noirs et des hachures apportent une expression d’une rare puissance. La folie, la peur et la mort rôdent en maîtresses despotiques. L’amitié et le courage n’en prennent que plus de relief.
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[Tex. 581, Lo sceriffo indiano | Gianluigui Bonelli ; Au...] |
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Auteur |
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Message |
Franz
Sexe: Inscrit le: 01 Déc 2006 Messages: 1992 Localisation: Nîmes
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Posté: Jeu 12 Mar 2015 18:15
Sujet du message: [Tex. 581, Lo sceriffo indiano | Gianluigui Bonelli ; Au...]
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Le shérif indien
En chemin pour Greystroke, Tex se souvient de son ami Jerry Norton, shérif métis accusé du meurtre de Rita Kent, fiancée à Rick Rowen, fils du potentat local. Jerry est en fuite pour éviter le lynchage et l’accusation sans preuve dont il est accablé. Tex est convaincu que Jerry n’a pu commettre un tel assassinat et il est décidé à démasquer le vrai coupable. Il se heurte d’abord à la violente hostilité des citadins de Greystroke puis le juge Frank Forrest, tireur d’élite, lui vient en aide. Ensemble, ils prennent la piste de Jerry Norton mais quelles sont les motivations réelles du juge Forrest ? Une amitié est en train de s’enraciner entre les deux hommes.
S’il fallait afficher la galerie de trognes qui apparaissent dans les aventures de Tex Willer, pas une ne se ressemblerait mais chacune mettrait en avant le visage de la duplicité, de la veulerie et de la cruauté. Il est impossible de s’y méprendre sauf quand, sciemment, et relativement rarement, le scénariste et le dessinateur s’entendent pour brouiller les cartes. Frank Forrest a un visage dur mais franc. Il est suffisamment élaboré pour être ambigu. A mesure que l’aventure avance, le ranger et le juge affrontent des épreuves qui les rapprochent. A la fin de la première partie, quand le lecteur en découvre un peu plus, il ne peut que frémir à l’idée de ce qui prend forme.
Dire que l’histoire est captivante est un euphémisme. Le tandem Faraci Cestaro fonctionne superbement. Les frères Cestaro sont simplement éblouissants. La tension est constante. Quantité de trouvailles graphiques émaillent le récit à l’exemple de l’insertion des onomatopées. Les expressions des visages sont époustouflantes. La séquence d’introduction est une pure merveille. Les échanges de regards entre le malfrat, le jeune Indien et Tex se passent de commentaires.
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