Jean-Bernard Pouy n’a jamais écrit La mauvaise graine. Non, je ne lance pas une tonitruante accusation de plagiat, je n’initie pas un jibégate. Il a bien écrit – du moins je n’ai pas d’information contraire – les quatre nouvelles de ce volume, mais elles sont extraites d’un autre recueil plus conséquent publié en 2001 et intitulé Les Roubignoles du destin. Cinq ans plus tard, Gallimar en a extrait quatre nouvelles qu’ils ont publié dans la collection Folio 2€. Ça fait donc un livre court (à peine cent pages) qui aura l’avantage de ne pas effrayer les gens dotés de peu d’endurance ou de peu de temps pour la lecture, financièrement accessible, facilement transportable… et de bonne qualité!
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