Une succession de portraits et de situations très justes mais pas de fil rouge. Dommage, je me suis ennuyée au milieu faute de lien entre ces personnages. Par contre j'ai beaucoup aimé l'écriture.
Je me suis laissée tenter par le titre.
Et puis par l'épigraphe : "Heureux les aimés et les aimants et ceux qui peuvent se passer de l'amour."
Et j'avais aimé "Le Dieu du carnage", vu au théâtre il y a quelques années.
Mais là franchement... il s'est laissé lire, ce n'était pas désagréable, mais je n'ai pas compris où ces vies entrecroisées nous menaient . D'ailleurs, quelques jours après l'avoir refermé, je l'avais déjà presque oublié !