Dans cette histoire, nous suivons Germain un grand gaillard de quarante-cinq ans. Il est un peu simple et il sait à peine lire et écrire. Il va faire la connaissance de Margueritte, une vieille dame de quatre vingt-six ans. Ces deux là vont s'adopter, s'apporter mutuellement un petit plus dans leur vie. Un beau roman sur l'amitié et le partage ou l'importance de la lecture a son importance.

Encore une histoire sympathique, pleine de bons sentiments, qui ne m'a pas embarquée.

L'idée de la transmission de connaissance de génération en génération est intéressante mais pas nouvelle:
"Un vieux qui meurt, c'est une bibliothèque qui brûle" repris p.77 par "Nous ne sommes sur terre que pour être des passeurs [...]"

La grossièreté de Germain a manqué de me faire tomber le livre des mains à plusieurs reprises.

Je retiens cette phrase que j'ai beaucoup aimé parce qu'elle me parle (même si elle est relativement simpliste):

"On passe des années à rêver d'être grands, tout ça pour regretter quand on était petits" (p.188).

J'attendais plus sur le thème de la vieillesse. C'est assez bâclé dans l'ensemble.

Germain, la quarantaine, costaud, "tête en friche", rencontre Margueritte, une vieille dame, sur un banc public. Ensemble, ils comptent et les pigeons et s'apprivoisent mutuellement. Germain vit dans une caravane au fond du jardin de sa mère, Margueritte dans une maison de retraite.
Du déjà vu, déjà lu. L'histoire d'une rencontre entre deux personnages très différents, un roman qui passe par le jardin, le bistrot et la bibliothèque. C'est très plaisant, facile à lire.