3 livres correspondent à cette oeuvre.
Il y a actuellement 3 notes de lecture correspondant à cette oeuvre (voir ci-dessous).
Mots-clés associés à cette oeuvre : bd, horreur, survie, zombies
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[Walking Dead, Tome 5 : Monstrueux | Robert Kirkman, Cha...] |
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Message |
kabuto
Sexe: Inscrit le: 02 Sep 2006 Messages: 611 Localisation: Craponne
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Posté: Jeu 23 Jan 2014 15:08
Sujet du message: [Walking Dead, Tome 5 : Monstrueux | Robert Kirkman, Cha...]
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Avec ce cinquième tome, on grimpe d’un cran dans l’horreur. Pourtant, les pires atrocités ne viennent pas des morts-vivants qui rodent mais de quelques hommes prêts à tout pour survivre dans ce monde en pleine déliquescence. Les véritables monstres ne sont pas forcément où l’on croit.
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[Walking Dead, Tome 5 : Monstrueux | Robert Kirkman, Cha...] |
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Message |
tofdesbois
Sexe: Inscrit le: 24 Avr 2006 Messages: 315 Localisation: Creuse (23)
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Posté: Lun 23 Jan 2012 14:59
Sujet du message: [Walking Dead, Tome 5 : Monstrueux | Robert Kirkman, Cha...]
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Dans ce 5ème volume, le groupe de survivants dégote des armures anti-émeutes et de nouvelles armes dans un recoin non encore exploré de la prison. les voilà parés pour lutter encore mieux contre les zombis. Mais suite à la chute d'un hélicoptère, trois d'entre eux tombent sur un autre groupe de survivants dominé par un chef régnant par la violence et par la peur.
Plus que les zombis, ce sont les hommes eux-mêmes qui sont un danger mortel.
Pas de mort du groupe des héros dans cet épisode, mais que de souffrance ! Franchement j'ai eu du mal à le finir tellement l'ambiance est glauque. Heureusement le suivant s'appelle "Vengeance", et annonce un retour à l'équilibre... J'espère.
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[Walking Dead. T. 5, Monstrueux | Robert Kirkman, Charli...] |
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Message |
Franz
Sexe: Inscrit le: 01 Déc 2006 Messages: 1996 Localisation: Nîmes
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Posté: Mer 22 Juin 2011 10:47
Sujet du message: [Walking Dead. T. 5, Monstrueux | Robert Kirkman, Charli...]
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Avec leurs plastrons pare coups anti-émeute, Glenn et Rick, accompagnés par Michonne qui est armée de son sabre redoutable, se sentent dûment équipés afin de franchir les murs de zombies agglutinés contre les grilles et d’aller au-delà des trois enceintes du pénitencier. Le but de l’opération consiste à siphonner les voitures pour récupérer la précieuse essence. En pleine manœuvre, le trio médusé aperçoit un hélicoptère en perdition dans le ciel. Le point d’impact repéré, ils décident de se rendre sur place mais la voiture s’embourbe. Ils doivent continuer à pied, dans l’épaisse sapinière truffée de morts-vivants toujours prompts à surgir de derrière un tronc, la gueule pourrie prête à mordre et à déchiqueter. Trop tard ! Le trio découvre l’épave fumante mais de multiples empreintes au sol attestent que les rescapés de l’accident ont été emportés ailleurs par des vivants. La curiosité est trop forte. Si une autre communauté d’humains a survécu et s’est organisée, il faut la rencontrer ! Pendant ce temps, au camp retranché dans la prison, l’inquiétude et la tension sont palpables. La suite n’est plus qu’une montée en puissance dans l’épouvante avec l’apparition du gouverneur, chef dément et cruel, affranchi de toute morale, tortionnaire particulièrement vicieux. Il est secondé par deux molosses humains. Rick et Michonne vont faire leur connaissance et y laisser quelques morceaux de choix au passage.
Une nouvelle fois, l’épisode concocté par Robert Kirkman est terriblement prenant. L’alternance des scènes allant de Woodbury à la prison pourrait agacer si elle devenait un procédé alors qu’elle augmente la tension à mesure qu’on découvre la cruauté démentielle du gouverneur et sa toute-puissance fielleuse. Si les zombies constituent une menace constante et terrible, celle-ci reste relativement circonscrite car les walking dead sont lents et faibles et leurs intentions sont sans équivoque. La perversité humaine semble, quant à elle, sans limite, capable à tout instant d’exploser et de tout carboniser. Le dessin de Charlie Adlard est réussi dans les scènes nocturnes mais le talent est surtout visible dans le découpage et les cadrages sans cesse inventifs, dynamiques et surprenants. Le lecteur peut légitimement être sonné à la fin et c’est hagard, tremblant et cupide qu’il cherche déjà le 6e tome pour un nouveau round sur le ring de l’horreur.
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