L'histoire en soi ne manque pas d'intérêt, et l'auteur a quelques idées intéressantes dans le lot, mais l'écriture est si pauvre... Il ne suffit pas d'introduire de temps à autre une citation de Gandhi qui arrive d'ailleurs comme un cheveu sur la soupe, pour arguer de qualités littéraires...

Je pensais trouver une suite, plus approfondie, de "L'homme qui voulait être heureux", mais pas du tout. Je suis déçue. J'ai perdu au fil de la lecture mon enthousiasme...

Voilà un pavé de 425 pages lu en une seule journée!
Bon d'accord c'est facile à lire et s'il n'y avait pas l'histoire d'Alan qui décide de se suicider en se jetant du deuxième étage de la Tour Eiffel et d'Yves Dubreuil qui lui conseille de sauter avant de lui proposer de signer un pacte avec lui, on croirait lire un livre de développement personnel.
Je ne connaissais pas cet auteur (c'est son deuxième roman), j'ai bien aimé et j'en redemande.
En "deuxième lecture" l'auteur, spécialiste des sciences humaines, pose quelques questions sur notre confiance en soi, nos inhibitions et conditionnement au travers du personnage d'Alan qui n' a jamais connu son père ,travaille dans un cabinet de recrutement où la performance est l'unique crédo et, en plus vient de vivre une rupture sentimentale qui l'a laissé un peu KO.