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Les notes de lectures recherchées |
3 livres correspondent à cette oeuvre.
Il y a actuellement 2 notes de lecture correspondant à cette oeuvre (voir ci-dessous).
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[Petit traité de l'abandon | Alexandre Jollien] |
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Auteur |
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Message |
Laudateur
Sexe: Inscrit le: 29 Fév 2008 Messages: 1599 Localisation: Quimper
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Posté: Jeu 29 Mai 2014 19:41
Sujet du message: [Petit traité de l'abandon | Alexandre Jollien]
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Commentaires : 0 >> |
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Très beau livre, tout simple, d'Alexandre Jollien. Ce livre m'a été offert par un pote de Bordeaux qui voulait me faire partager un écrit qui compte beaucoup pour lui.
Même si certain propos tenus par l'auteur me semblent parfois simplistes, surfaits voire dangereux lorsqu'ils sont pris à la lettre (je parle en connaissance de cause...), je ne peux pas être en désaccord avec ce qu'il dit. C'est juste que, parfois, je mettrais plein de bémols. Juste histoire de ralentir les "tout-à-fondistes".
Un livre à recommander à ceux et celles qui cherchent un peu plus de sérénité quand ils se regardent dans la glace...
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[Petit traité de l'abandon | Alexandre Jollien] |
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Auteur |
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Message |
muse-hic
Sexe: Inscrit le: 11 Mar 2007 Messages: 258 Localisation: Auvers sur Oise
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Posté: Mar 12 Mar 2013 11:04
Sujet du message: [Petit traité de l'abandon | Alexandre Jollien]
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Commentaires : 0 >> |
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Quand A Jollien nous parle d'abandon, extraits qui ont résonné en moi:
- Je pense que la souffrance, la tristesse ont leur place en nous.Elles durent peut-être précisément parce que l'on n'ose pas les vivre à fond. Ce qui me frappe en observant les enfants, c'est que lorsqu'ils pleurent, ils pleurent à fond et leur tristesse s'en va. Peut-être qu'ils y a des blessures d'enfance qui n'ont pas pu être vécues à fond et qui pour cette raison demeurent.
- Je m'interroge souvent quand j'agis avec les autres, lorsque je suis avec des proches ou des moins proches: "Est-ce que je tends au bien ou est-ce que je veux plaire à l'autre?"
- Certes, le handicap, la privation existent. Mais je pense qu'ils sont aggravés et deviennent encore plus douloureux dès lors que je me compare à mon voisin(...). Le chemin de ma vie, c'est d'accepter ou plutôt d'accueillir tout mon être, sans rien rejeter de lui. Trouver la beauté, la joie, là où elles se donnent: dans ce corps, dans cet être, dans cette vie et non dans une vie rêvée, idéalisée.
- Tant que j'aime une image de Dieu ou une image de ma femme, je ne l'aime pas pour elle-même. Tant que j'aime l'image parfaite, impeccable de mes enfants, je ne les aime pas pour ce qu'ils sont.
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