Mia quitte sa vie pour se réfugier auprès de sa mère, vivant en maison de retraite, lorsqu'elle ne parvient plus à supporter son mari Boris, qui entretient une liaison avec une jeune femme.
Durant l'été qu'elle passe là, elle anime un groupe de poésie pour des adolescentes, et revit à travers elle cette période douloureuse de sa vie, alors qu'elle essaie d'y voir plus clair dans sa vie actuelle.

Il m'a semblé difficile de se lier à Mia, qui a une personnalité étrange; le roman en pâtit je pense.

quel bonheur que ce livre! quand je l'ai eu terminé, je l'ai gardé contre mon cœur...il représente pour moi la quintessence de ce que j'attends de la lecture et de la vie en général

Je n'a! pas pu terminer ce roman, pour moi, trop fouillis, on ne sait vraiment pas ou veut en venir l'auteur!!
Bon d'accord, elle se fait larguer par son marie qui part avec y-une jeune femme, D'accord mais après en veut elle à toutes les jeunes filles du monde, là, je cale, très, très CHIANT à mon goût!!

J'abandonne, il ne se passe rien, le style est pompeux, j'ai tenu jusqu'au milieu et alors, le petit laïus démago de bises au lecteur m'a fait craquer...

Ce livre me laisse un sentiment partagé.
Par certains côtés je n'ai pas spécialement aimé. A cause du style ou l'on se perds entre les histoires et à cause des pages de réflexions philosophiques avec des allusions à des poètes (sans explications claires). J'ai du coup pas toujours compris ce qu'elle voulait dire.
Par d'autres cotés on partage plusieurs existences avec chaque fois des préoccupations différentes en fonction de l'age de chaque personnage. Les personnages sont attachants et j'ai fini par dévorer la fin.

Premier roman de siri hustvedt dont j'attendais beaucoup et je suis un peu restée sur ma faim. A vrai dire je me suis un peu ennuyée à la lecture : toutes les digressions psycho- philosophies ne m'ont pas intéressé. Par conte, j'ai bien aimé les poèmes glissés par ci par là et à la limite j'aurais bien aimé en lire d'autres. La description de la vieillesse est néanmoins touchante et bien plus réussie que celle des ados de mon point de vue. J'ai bien aimé la vieille dame qui brode es fantasmes au dos de ses broderies et Lola la voisine un peu déjantée.

Je l'abandonne pas intéressée du tout par le sujet : un abandon et par le style décousu. Désolée Mme Auster !