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Les notes de lectures recherchées |
3 livres correspondent à cette oeuvre.
Il y a actuellement 2 notes de lecture correspondant à cette oeuvre (voir ci-dessous).
Notation moyenne de ce livre : (3 livres correspondant à cette oeuvre ont été notés)
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Auteur |
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Message |
onaris
Inscrit le: 28 Fév 2009 Messages: 1459 Localisation: Occitanie
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Posté: Lun 25 Avr 2022 6:05
Sujet du message:
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Commentaires : 0 >> |
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La première patrouille d'un médecin militaire à bord d'un SNLE.
Ceci permet au narrateur de découvrir les différents métiers exercés par l'équipage d'un sous-marin nucléaire et de poser toutes les questions, aussi naves qu'elles soient.
C'est surtout un huis-clos de deux mois au fond de l'océan, sans revoir le jour une seule fois, dans un confinement entièrement masculin avec sa discipline et sa hiérarchie.
Le style de l'auteur, interpelant la lectrice, son ex-petite amie, est vite lassant.
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[Le jour ne se lève pas pour nous | Robert Merle] |
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Auteur |
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Message |
rivax
Sexe: Inscrit le: 08 Avr 2009 Messages: 781 Localisation: Au pays des grenades
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Posté: Sam 22 Oct 2011 10:55
Sujet du message: [Le jour ne se lève pas pour nous | Robert Merle]
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Commentaires : 0 >> |
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Un sujet intéressant. En quelques sortes la version hexagonale du roman de Clancly "Octobre Rouge". L'histoire d'un médecin de la Royale qui assure une patrouille dans un SNLE, les sous-marins de dissuasion transportant des missiles nucléaires. Le bateau de 130 mètre de long embarque 15O hommes pendant huit semaines. La vie à bord est réglée comme du papier musique et la routine s'installe bien vite.
Le médecin, insatiable curieux, s'instruit et nous instruit en questionnant les divers marins sur leur rôle à bord.
Le problème c'est qu'on a vite fait le tour des considérations techniques, quand même un peu schématisées et que le train-train du sous marin a les défauts de tous les trains-trains, la répétition...on tourne bien vite en rond dans un récit que de micro-péripéties ne suffisent pas à relever.
C'est la force de Clancy d'avoir su faire d'un exposé technique, un thriller haletant. Telle n'était pas l'objectif de Merle mais à force d'hésiter entre les genres, il n'en explore aucun et arrivé à la moitié du livre, le lecteur en aura fait le tour.
Puis, il y a dans l'écriture de Merle, une tendance à l'excès de bavardage. Ici, il dédie son livre à sa belle à qui il fait des apartés un peu mièvre...et puis il y a les personnages récurrents du bavard jovial qui fait des blagues de potache, a le verbe haut et la langue bien pendue. Ces personnages, il y en a dans tous les romans de Merle et à force, çà lasse.
Bref, je vais prendre mes distances avec cette hauteur dont la plume, qui m'a ravi à l'adolescence, me fatigue à présent.
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