Je me suis arrêtée au bout d'une cinquantaine de pages, et pourtant je déteste ne pas terminer un livre. Mais je m'ennuyais terriblement... L'histoire ne me touchait pas, le style m'exaspérait... j'ai forcé un peu et puis j'ai abandonné.
on a l’impression de lire un conte pour enfants. Un enfant est le personnage principal. Il dialogue avec quelqu’un d’inhabituel, d’inconnu des adultes : un ange dans « Le miroir obscur ». Ce miroir obscur », c’est le sens de la vie. La frontière entre la vie et la mort est alors symbolisée par un miroir qualifié d’obscur car on ne peut pas voir ce qui se passe de l’autre côté.
L’enfant gravement malade, elle va mourir. Mais le déroulement des entretiens entre l'ange et l'enfant permet d'aller vers cette fin (sur terre) sans angoisse car « comprise », la mort est ici vécu et racontée non comme une fin totale contre laquelle on se débat mais comme un passage ( le miroir ) vers l’éternité qu’il nous reste à découvrir. Une lecture et histoire émouvante.