Le retour sur l'enfance du narrateur, les marrionettes son métier, son amour impossible, sa mère... qui était sa mère morte il y a longtemps.
Le narrateur visite chaque jour ce petit garçon dans le coma à l'hopital dans l'espoir qu'il se réveille.
Les douleurs de son enfance rejaïssent au contact du garçon allongé dans son lit. Il se souvient de ce premier amour perdu. Les attantats meurtriés en France de la guerre d'Algérie, les ratonades ...
Même si l'ensemble un peu trop calculé rend le rythme est un peu poussif par moment, cela reste un bon livre.
Une belle histoire !
Un marionnettiste est au chevet d'un adolescent dans le coma et il se raconte. Ses souvenirs d'enfance mêlent ses relations avec son père mystérieux ( la mère est absente) , les évènements de la rue (nous sommes en France à la fin de la guerre d'Algérie ) et le plus important pour lui une jeune algérienne , compagne de jeux et grand amour .
C'est un livre que je trouve tout en douceur , émotion , subtilité.
Sa rencontre avec Halva:
" Moi, je quittais mon corps,j'étais la fumée des Celtique de papa à ses joues,le souffle du ventilo dans ses cheveux,le verre à ses lèvres, j'étais foutu d'amour bête en plein jour"