6 livres correspondent à cette oeuvre.
Il y a actuellement 3 notes de lecture correspondant à cette oeuvre (voir ci-dessous).
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[Antimanuel de l'économie - T2 - Les cigales | Bernard ...] |
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maroni
Sexe: Inscrit le: 02 Jan 2009 Messages: 937 Localisation: Paris
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Posté: Jeu 23 Avr 2009 13:19
Sujet du message: [Antimanuel de l'économie - T2 - Les cigales | Bernard ...]
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Antimanuel d’économie. (2. Les cigales)
B.Maris.
Le tome 1 a été intitulé "les fourmis" en rapport au travail et à toutes les forces qu'il revêt -cf. L'analyse économique classique.
Dans ce tome 2, Bernard Maris aborde l'économie sous des formes inusuelles, en mettant en avant des notions, des valeurs qui rappellent un peu celles défendues par la deuxième gauche et la CFDT dans les années 1970 : l’inutile, la gratuité, le don, la recherche désintéressée, la création artistique « pour le plaisir »
Un ouvrage intéressant ne serait-ce que pour cela
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[Antimanuel d'économie | Bernard Maris, Bernard Maris] |
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Message |
ookwee
Inscrit le: 19 Avr 2006 Messages: 31
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Posté: Mer 20 Déc 2006 16:37
Sujet du message: [Antimanuel d'économie | Bernard Maris, Bernard Maris]
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Ouvrage de vulgarisation économique intéressant.
Quatrième de couverture :
"Peut-on échapper à l'économie ? Elle imprègne fart, le sport, le sexe et la guerre ; elle engage le quotidien de la ménagère comme celui du manager. La " marchandisation de la vie " devient l'hymne de l'époque, et les économistes sont ses farauds apôtres, capitaines autoproclamés à la proue du " progrès " de l'humanité. Le rationnel est leur sextant, le quantifiable est leur boussole. Entre toi de la jungle et productivisme acharné, cartels et stock-options, la statistique quadrille leur parcours. Des kilos d'équations lestent leur " raison raisonnante ". Tout juste admettent-ils qu'une main invisible leur vient parfois en aide, altruiste ou impérieuse selon les cas. C'est oublier que l'homme n'est pas, mais alors pas du tout, rationnel. Et que l'économie est avant tout une réflexion sur le partage. Qui regarde le gâteau, qui tient le couteau ? Une autre économie est-elle possible ? L'esperanto économique est-il le jargon d'une science dure, le sabir d'une science motte, ou le cache-misère d'une science nulle
Traquant les fioritures et les pseudo-concepts, cet Antimanuel permet à chacun de s'armer pour comprendre la harangue des chefs de la guerre économique. Car dans le monde des comptes, il ne faut pas s'en laisser conter. Sur un ton léger mais incisif, Bernard Maris convoque tour à tour des économistes, de Keynes à Stiglitz, mais aussi, plus inattendus, des philosophes ou des romanciers : Montesquieu, Swift, Jarry, Maupassant, Orwell ou Houellebecq... Ensemble, ils posent enfin un regard neuf sur une discipline réputée austère et répondent à des questions fondamentales : qu'est-ce que la valeur ? la monnaie ? la richesse ? La croissance est-elle une vertu ? Qui osera désormais dire que l'économie est ennuyeuse
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[Antimanuel d'économie. Tome 2, Les cigales | Bernard M...] |
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Message |
ookwee
Inscrit le: 19 Avr 2006 Messages: 31
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Posté: Mer 20 Déc 2006 16:35
Sujet du message: [Antimanuel d'économie. Tome 2, Les cigales | Bernard M...]
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Commentaires : 3 >> |
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Dans le même esprit que le premier tome, avec un discours toujours clair, B. Maris continue son travail de vulgarisation de ceette notion parfois obscure : l'économie
Quatrième de couverture :
"Le premier tome de cet Antimanuel racontait la rareté, l'offre, la demande, la concurrence, le commerce, l'argent... C'était le tome des fourmis : raisonneuses, rationnelles, égoïstes, épargnantes, bref, calculatrices. Le lecteur découvrait, un peu étonné, que la compétition n'était pas le vrai moteur des échanges et qu'elle laissait souvent la place aux phénomènes de pouvoir, de mimétisme et de foule.
Voici venue la revanche des cigales ! Et si l'inutile, la gratuité, le don, l'insouciance, le plaisir, la recherche désintéressée, la poésie, la création hasardeuse engendraient de la valeur ? Et si les marchands dépendaient - ô combien ! - des poètes ? Et si la fourmi n'était rien sans la cigale ? Voici venu le temps d'affirmer, contre les économistes, que l'inutile crée de l'utilité, que la gratuité crée de la richesse, que l'intérêt ne peut exister sans le désintéressement.
On verra que ce livre ne dédaigne en rien les marchands. Mais pourquoi sont-ils devenus la classe dominante ? Pourquoi sommes-nous sortis de ces sociétés de chasseurs-cueilleurs, qui " marchaient dans la beauté ", comme le chantent certaines tribus ? Nous sommes passés du côté de l'utile et du laid. Et en même temps, le capitalisme fait partie de notre vie, tout simplement, et ne mérite pas d'être méprisé, sauf à mépriser la vie.
Si l'on veut approcher l'essence du capitalisme, il faut sortir des sentiers de l'économie et musarder avec l'histoire, l'anthropologie et la psychologie.
Ce second tome se situe aux frontières ou au-delà de l'économie."
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